GAIA lance sa nouvelle campagne "Il faut inverser la tendance" pour un abaissement de la TVA sur la stérilisation des chats. "Une réduction de la TVA de 21% à 6% pourrait épargner beaucoup de souffrances à ces animaux", explique la directrice de GAIA, Ann De Greef. "Bien que nous constations des améliorations – dues sans doute en partie à l'obligation légale de stérilisation, il reste encore trop de propriétaires qui ne font pas stériliser leur chat." La population de chats continue donc de croître de manière exponentielle, entraînant ainsi des souffrances toujours plus grandes pour ces animaux : abandons, refuges surpeuplés et chats errants tous azimuts. Une récente enquête Ipsos* montre qu'un propriétaire de chat sur cinq ferait stériliser son chat si l’opération était moins chère. "Nous demandons donc aux décideurs politiques d’abaisser la TVA sur la stérilisation des chats de 21% à 6%", reprend Ann De Greef.
Le chat Lee a commencé son retour au Pérou ce matin. Un compromis a été trouvé avec l'AFSCA: après sa vaccination contre la rage, Lee restera durant le reste de sa période d’attente au Pérou.
Le tribunal se prononce contre l'euthanasie du chaton péruvien Lee. La demande de l'AFSCA a été jugée non fondée et illégale.
Lee est le bienvenu au Pérou pour le Senasa (l’homologue péruvien de l’AFSCA). Dans une communication écrite, le chef du SENASA Pérou, Miguel Quevedo Valle, confirme « qu’ils n’ont jamais refusé l’entrée à Lee ».
Ce 15 mai, une audience a eu lieu devant le tribunal de Première instance néerlandophone d'Anvers concernant le chaton Lee. L'affaire a pris une tournure ultra-autoritaire : l'AFSCA réclame 5.000 EUR d'astreinte par heure à Selena Ali, tant qu'elle ne qu'elle ne laisse pas son chat Lee se faire tuer. L'Agence exige aussi une interdiction de parole de la propriétaire sous peine de 1.000 euros d'amende par infraction.
Le Jury d'éthique publicitaire (JEP) a jugé que les plaintes contre la dernière campagne de GAIA « Nous en avons assez » ne sont pas fondées. Suite à la diffusion de cette campagne, les syndicats agricoles – dont la Fédération Wallonne de l'Agriculture – avaient crié au « scandale »...
Le Centre de crise a décidé à la mi-mars de fermer les salons de toilettage pour animaux. Or, cela pose de réels problèmes de bien-être animal. Par manque de soins, certains chats et chiens peuvent développer des maladies ou se blesser.
L’interdiction des abattages sans étourdissement reste d’application en Flandre, même en période de crise sanitaire. C’est ce que vient de confirmer le Tribunal de première instance néerlandophone de Bruxelles.
**Si le sentiment d’urgence de s’attaquer aux causes sous-jacentes des pandémies zoonotiques n’a pas encore gagné les décideurs, quand le fera-t-il ?, interroge Michel Vandenbosch, président de GAIA, dans cette carte blanche.**
Dans « Deux kilos deux », l'historien et romancier Gil Bartholeyns décrit le cauchemar des élevages de poulets de chair. Sans faire la morale, il se contente de raconter – et c’est déjà formidable – la justesse plutôt que la justice. GAIA l’a rencontré.
Pour éviter la propagation du Coronavirus, GAIA suspend ses sessions d'information « Un regard sur GAIA ». Par conséquent, la soirée d'information prévue ce jour à Bruxelles est annulée et reportée jusqu'à nouvel ordre.
Les enseignes de prêt-à-porter e5 mode et Paprika rejoignent l’initiative « Commerce sans fourrure » (Fur Free Retailer Program). « Les consommateurs ne veulent plus soutenir la souffrance des animaux, déclare la directrice de GAIA, Ann De Greef. Les marques de vêtements le ressentent de plus en plus et décident de se passer de fourrure ».
En 2019, les consommateurs belges ont acheté un total de 229.100 kg de foie gras. En 2017, les ventes de ce produit s'élevaient à 257.100 kg. Ce sont les conclusions d'un rapport récent de l'institut de recherche GfK. On observe également une chute dans le nombre de ménages qui achètent du foie gras : il passe de 703.000 en 2017 à 623.000 en 2019. « Nos campagnes portent leurs fruits », déclare Michel Vandenbosch, le président de GAIA. « L'achat et la consommation de foie gras sont très nettement en train de diminuer. »
En février 2016, plusieurs organisations musulmanes citaient la Région flamande en justice. Elles estimaient en effet injuste l'interdiction de l'abattage sans étourdissement d'animaux sur des sites d'abattage temporaires dans le cadre de la fête du sacrifice, une mesure introduite par le ministre flamand du Bien-être animal, Ben Weyts (N-VA). Ces associations ont été déboutées de leur plainte par le tribunal de première instance néerlandophone. « Le Règlement européen de 2009 sur l'abattage d'animaux reste entièrement d'application », commente Michel Vandenbosch, le président de GAIA. « L'abattage sans étourdissement sur des sites d'abattage temporaires était, est et restera interdit ! »
Dès l'entrée en vigueur du nouveau Code civil, approuvé aujourd'hui en séance plénière à la Chambre, le caractère sensible des animaux sera reconnu. GAIA salue cette nouvelle loi (livre « Les biens »), qui est un pas dans la bonne direction.
Après une semaine d'actions ciblées, GAIA a successivement réussi à convaincre Carrefour Belgique, Makro, Cora, Match et Spar (Colruyt Group) d'abandonner la vente de viande de kangourou. Il est temps que la Belgique interdise l’importation de viande de kangourou comme elle l’a fait pour les produits issus de la chasse aux phoques
Après un an de campagne, GAIA remporte une nouvelle victoire : au terme d'une opération expresse et d’une mobilisation sans précédent de nos membres, Carrefour Belgium a décidé d’arrêter de vendre de la viande de kangourou.
La ministre fédérale de l'Économie, Nathalie Muylle (CD&V), a déposé un recours contre l’interdiction des feux d’artifice en Flandre. GAIA dénonce l'incohérence de la ministre et soutiendra la Région flamande, en tant que partie intervenante, devant la Cour constitutionnelle. GAIA appelle aussi les ministres bruxellois et wallon du Bien-être animal à interdire les feux d'artifice dans leurs Régions.
Chez GAIA, nous sommes déjà prêts à lutter très dur pour plus de bien-être animal en 2020. Parce que même si 2019 a été une année difficile pour les animaux, de nombreux défis nous attendent...
Les feux d’artifices peuvent être source de stress et de danger pour les animaux. C’est pourquoi GAIA met en place une action invitant les Wallons et Bruxellois à s’adresser à leur commune afin de convaincre les bourgmestres d’opter pour des feux d’artifice “à bruit contenu”.